La Commission européenne a annoncé** son intention de doubler le budget du programme Erasmus à 42 milliards d’euros pour inclure les pays du sud de la Méditerranée**. Présentée comme un pont entre les cultures, ce projet s’inscrit dans une logique migratoire assumée.

Les « échanges universitaires » annoncés par Bruxelles ne sont qu’un prétexte migratoire. Au lieu d’investir dans nos facultés, la Commission organise la submersion migratoire en distribuant des titres d’étudiant. Personne n’imagine envoyer nos jeunes en Syrie ou en Libye : preuve qu’il ne s’agit pas d’un échange, mais d’un dispositif à sens unique.

Pire encore, ce programme vise des pays hostiles à la France, à commencer par l’Algérie, qui ne cesse de multiplier les provocations à notre encontre. L’UE n’hésite pas non plus à inclure des régimes autoritaires ou instables, alors que la Hongrie est exclue du programme pour des raisons purement idéologiques.

Les Patriotes pour l’Europe au Parlement européen dénoncent ce dévoiement : Erasmus doit rester un outil d’échange pour la jeunesse européenne, pas une nouvelle filière migratoire. Derrière les beaux discours de Mme von der Leyen, c’est toujours la même politique d’ouverture sans limite, contre la volonté des peuples européens.